Dernièrement, j’ai été voir 2 films au ciné. 2 films américains. Et oui. L’exception culturelle française a du mal à dépasser les frontières. Encore que ce n’est pas tout à fait vrai ici, car l’Alliance Française locale diffuse des films français (et en français, oui Môssieur) toutes les semaines. Pas de bol, la semaine dernière, Polstergay avait été nommé ambassadeur du cinéma tricolore. J’ai donc naturellement opté pour la culture McDo. Et par 2 fois. Upsize meal donc.
Le premier film ne te fera pas rêver, ami lecteur. En effet, c’est en pleine connaissance de cause que j’ai mis 10S$ (5€) par la fenêtre pour aller voir Milla Jovovitch mettre la pâtée aux zombies dans un 3ème opus très décevant de Resident Evil. Presque nul même, mais pas assez pour m’empêcher d’aller voir le 4 s’il sort un jour. Par sur, par contre, qu’Arthur m’accompagne voir un autre navet. Après l’avoir convaincu de venir, c’est en élève studieux qu’il avait parcouru le net à la recherche d’un résumé des 2 premiers volets, "de peur de ne pas tout comprendre". Dommage, car il n’y a pourtant rien à comprendre. Un vilain virus tue les gens, puis les transforme en zombies, avant que Milla ne les tue pour de bon. Scénario simple et génial.
Pour le 2nd film, c’est ce fidèle Tutur*, cette fois-ci, qui a choisi. Il est plus du genre intello alors on a été voir Sicko. Très bon. Certes, c’est du Michael Moore, donc on peut lui faire les même critiques que pour chaque film : "mais il prend parti, c’est pas objectif, il oublie de dire que ceci ou cela, ..." Oui, mais quand même, il met aussi en lumière des situations aberrantes, drôles, et choquantes. Un bon film avec, pour Tutur et moi-même, une petite séquence nostalgie lors du passage en France et notre bonne vieille sécu.
Bref, Arthur et moi avons formée une fine équipe cinématographique. Le hasard (et surtout notre préparation complètement à l’arrache) nous a fait poursuivre ce duo à l’occasion des 50 ans de Raly et Jérôme (25+25) samedi soir. Au programme, une soirée "indienne". On s’est donc dégoté des tenues colorées dans Little India que nous avons agrémentées d’accessoires pas forcément indiens. Va savoir pourquoi, on a pensé qu’une fausse moustache, un moquette poilue sur le torse et des bonnes vieilles lunettes à la Poncherello nous permettraient d’atteindre à peu de frais le Mumbai Style. Bonne rigolade à défaut d’avoir atteint le summum de la classe.
Comme dirait l’autre :"Ecoute-moi bien mon petit José, tu b..... les ménagères. Bien, tu dois avoir le cul qui brille! Mais c'est pas ça qu'on appelle la classe". Belle citation. A méditer. Et vu que je pense qu’on ne lira rien de mieux ce soir, je vais me coucher, le sentiment du devoir accompli.
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*: En me relisant, j'ai l'impression de parler d'un labrador... Tant pis, il ne m'en voudra pas trop. Enfin, j'espère.
*: En me relisant, j'ai l'impression de parler d'un labrador... Tant pis, il ne m'en voudra pas trop. Enfin, j'espère.
4 commentaires:
t'as tort, Poltergay était pas mal du tout. surtout les fesses de clovis...hem
je te conseille factory girl alors. ça vaut le coup
oui, je sais je pourris les blogs des frères scrive
je me tais
Et alors, quel a été l'effet "poil" sur les demoiselles?
resident evil 3, j'ai fais en streaming.. pas top en effet.
je conseille pas non plus "superbad". Dans le genre film de jeunes a la ricaine, il arrive pas a la cheville d'american pie...
Le problème, c'est que tu bites que dalle à l'histoire!
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