C'est la mi-temps. 3 mois que je suis à Singapour. 3 mois de cours, 3 mois de vacances, 3 mois de rencontres. Bref, 3 mois bien remplis, mais surtout 3 mois sans soucis. Et donc, pour fêter cela, je me suis accordé 3 jours de rêve tout au Nord de la Malaisie, aux îles Perhentians. Plongée sous-marine (dont une de nuit et une dans une épave à 25m de fond), Ultimate sur la plage, farniente, bungalow au bord de l'eau... Je sais, ami lecteur, tu commences à me détester avec mes petits voyages. Je te rassure, tout ceci constitue ce qu'il convient d'appeler l'avant.
Car à partir de maintenant, j'entame l'après Perhentians. En d'autres termes, le compte à rebours qui va lentement s'écouler jusqu'à la date de mon retour (2 juillet) est en marche. Et plus question de rigoler. J'attaque les choses sérieuses maintenant: rédaction de mes rapports de stage, validation de ces stages, de mon expérience internationale, recherche d'un VIE ou d'un stage en France (et si possible dans un domaine qui me botte - domaine qu'il me faut encore identifier)... Bref, les 3 mois à venir risquent de me faire regretter l'insouciance dont j'ai fait preuve jusqu'à présent.
Bien sûr, je n'écris pas ces lignes en espérant apitoyer mon lectorat. Bali, Koh Phi Phi, Phuket, une 4ème week-end en Malaisie et probablement une semaine sur la partie malaise de Bornéo sont tout de même sur ma to-do list (faudrait voir à pas oublier que pendant 24 ans j'ai été un bon élève...)
Mais depuis ce matin, et mon dur retour à la réalité, j'avoue que je donnerai cher pour échanger ma place avec Bill Murray dans Groundhog Day afin de pouvoir revivre encore et encore ce week-end aux Perhentians.
Car à partir de maintenant, j'entame l'après Perhentians. En d'autres termes, le compte à rebours qui va lentement s'écouler jusqu'à la date de mon retour (2 juillet) est en marche. Et plus question de rigoler. J'attaque les choses sérieuses maintenant: rédaction de mes rapports de stage, validation de ces stages, de mon expérience internationale, recherche d'un VIE ou d'un stage en France (et si possible dans un domaine qui me botte - domaine qu'il me faut encore identifier)... Bref, les 3 mois à venir risquent de me faire regretter l'insouciance dont j'ai fait preuve jusqu'à présent.
Bien sûr, je n'écris pas ces lignes en espérant apitoyer mon lectorat. Bali, Koh Phi Phi, Phuket, une 4ème week-end en Malaisie et probablement une semaine sur la partie malaise de Bornéo sont tout de même sur ma to-do list (faudrait voir à pas oublier que pendant 24 ans j'ai été un bon élève...)
Mais depuis ce matin, et mon dur retour à la réalité, j'avoue que je donnerai cher pour échanger ma place avec Bill Murray dans Groundhog Day afin de pouvoir revivre encore et encore ce week-end aux Perhentians.
5 commentaires:
Quand j'étais en CM2 et qu'on faisait ultimate en sport, j'étais dégoûté de la vie. Alors je ne veux pas croire que quelqu'un s'inflige volontairement cette souffrance sur une plage paradisiaque.
L'ultimate c'est la synthese de la technique individuelle au service du collectif, de la bonne ambiance, le fair-play erige en religion
Je comprends que la personne qui m'a répondu ait souhaité gardé l'anonymat.
garder
Effectivement mon cher jumeau, il est préférable que tu n'attendes pas de ton lecteur (qui doit faire face aux mêmes questionnements mais depuis Cergy Plage ou Jouy Les Bains) qu'il te prenne en pitié, et ce pour des raisons forts évidentes.
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