Aujourd’hui, c’est Noël*. Enfin, ça dépend.
D’abord, ça dépend de la date, dans laquelle, selon Bibi, on a le choix. Pour moi, ça a toujours été le 24, et notamment le 24 au soir comme on dit. Pour les puristes, c’est le 25. 25 ans que je suis sur Terre, 25 ans que le calendrier me donne tort, et 25 ans que je m’en cogne. Noël, c’est le 24. Et toc.
Ensuite, ça dépend du programme. Repas gargantuesque en famille, ouverture des cadeaux (n’en déplaise à mes oncles pour qui c’est un non-sens d’ouvrir les cadeaux le 24), jeux vidéos dans le salon jusqu’à pas d’heures, et depuis quelques années, tournois de poker sur le câble. Ca, c’est mon Noël, version old school. Or cette année, ça va être soirée raclette entre copains. Pire, aujourd’hui, je travaille (enfin, pas trop, mais c’est pour des raisons qui ne sont pas liées aux fêtes). On nage en pleine aberration!
Enfin, ça dépend du temps. Pour que Noël soit Noël, il faut se les geler menu, grelotter sevère, avoir le nez qui coule et l’écharpe qui fait 3 tours autour du cou. Et aussi (très important et j’ai pourtant failli l’oublier) faire de la fumée quand on parle. Ca, c’est Palace, euh non, Noël. Le vrai Noël bien franchouillard, bien de chez nous.
Mais cette année, mes températures négatives, je peux m’asseoir dessus. Je ne sais pas combien il fait chez toi, mais ici, Google Weather (juge de paix de ce concours) m’annonce fièrement 29°C. Je te laisse imaginer ma déception. Tu vas m’en vouloir, toi qui dépenses un bras en chauffage cet hiver, mais ce petit froid sec, qui pince, qui fait frissonner, et bien figures-toi qu’il me manque. Je donnerais cher (500$?) pour troquer mes tongues et mes t-shirt contre le combo gants/ manteau/ écharpe /grosses chaussettes.
Tu l’auras compris, ici, Noël n’en a que le nom. Et encore, ici, on dit X’mas. Sinon, les rues sont décorées, Orchard brille de mille feux, les grands sapins ont pris place dans tous les centres commerciaux (avec le bon goût carateristiques des singapouriens : le plus grand que j’ai vu était rose avec des moutons multicolores au pied...), et toutes les sonos vomissent des chants de Noël. Same, same... mais pas pareil quand même. Ca sonne faux. On aimerait bien y croire mais franchement, on n’y arrive pas.
Fichues vacances au soleil qui n’en finissent pas...
---
* : Cela valait bien un post. Surtout que je ne t’aurai pas vraiment gâté en décembre, ami lecteur. Oh, inutile de le cacher, tu m’en veux. Si, si, je le sais. Tu trouves que je te délaisse, que ca fait longtemps que tu ne les as pas vu et tout le toutim. Promis, je tenterais d’être plus régulier en 2008.
D’abord, ça dépend de la date, dans laquelle, selon Bibi, on a le choix. Pour moi, ça a toujours été le 24, et notamment le 24 au soir comme on dit. Pour les puristes, c’est le 25. 25 ans que je suis sur Terre, 25 ans que le calendrier me donne tort, et 25 ans que je m’en cogne. Noël, c’est le 24. Et toc.
Ensuite, ça dépend du programme. Repas gargantuesque en famille, ouverture des cadeaux (n’en déplaise à mes oncles pour qui c’est un non-sens d’ouvrir les cadeaux le 24), jeux vidéos dans le salon jusqu’à pas d’heures, et depuis quelques années, tournois de poker sur le câble. Ca, c’est mon Noël, version old school. Or cette année, ça va être soirée raclette entre copains. Pire, aujourd’hui, je travaille (enfin, pas trop, mais c’est pour des raisons qui ne sont pas liées aux fêtes). On nage en pleine aberration!
Enfin, ça dépend du temps. Pour que Noël soit Noël, il faut se les geler menu, grelotter sevère, avoir le nez qui coule et l’écharpe qui fait 3 tours autour du cou. Et aussi (très important et j’ai pourtant failli l’oublier) faire de la fumée quand on parle. Ca, c’est Palace, euh non, Noël. Le vrai Noël bien franchouillard, bien de chez nous.
Mais cette année, mes températures négatives, je peux m’asseoir dessus. Je ne sais pas combien il fait chez toi, mais ici, Google Weather (juge de paix de ce concours) m’annonce fièrement 29°C. Je te laisse imaginer ma déception. Tu vas m’en vouloir, toi qui dépenses un bras en chauffage cet hiver, mais ce petit froid sec, qui pince, qui fait frissonner, et bien figures-toi qu’il me manque. Je donnerais cher (500$?) pour troquer mes tongues et mes t-shirt contre le combo gants/ manteau/ écharpe /grosses chaussettes.
Tu l’auras compris, ici, Noël n’en a que le nom. Et encore, ici, on dit X’mas. Sinon, les rues sont décorées, Orchard brille de mille feux, les grands sapins ont pris place dans tous les centres commerciaux (avec le bon goût carateristiques des singapouriens : le plus grand que j’ai vu était rose avec des moutons multicolores au pied...), et toutes les sonos vomissent des chants de Noël. Same, same... mais pas pareil quand même. Ca sonne faux. On aimerait bien y croire mais franchement, on n’y arrive pas.
Fichues vacances au soleil qui n’en finissent pas...
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* : Cela valait bien un post. Surtout que je ne t’aurai pas vraiment gâté en décembre, ami lecteur. Oh, inutile de le cacher, tu m’en veux. Si, si, je le sais. Tu trouves que je te délaisse, que ca fait longtemps que tu ne les as pas vu et tout le toutim. Promis, je tenterais d’être plus régulier en 2008.